dimanche 20 décembre 2009

COPENHAGUE décembre 2009.(Climat).

. Il y a encore manifestement dans le monde des Chefs d'Etat qui pensent que les ultimes phases d'une négociation avantageuse sont le défi, la provocation, la menace, et si cela s'avère insuffisant, la Guerre.
. Tant que de tels Chefs d'Etat, rétrogrades et inconscients ne seront pas isolés et écartés par leurs peuples, les accords internationaux raisonnables de cette ampleur seront impossibles et les risques ultimes, réels pour le monde. On a montré du doigt les Etats vendeurs de pétrole, avec raison, mais on n'a pas suffisamment remarqué que le congrès américain, encore profondément marqué par l'ère Bush, et très réticent devant un accord contraignant, avait dû peser lourd dans la pusillanimité d'Obama.

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